Chez les amérindiens, les peintures sur les parflèches (par exemples) étaient réalisées avec des pigments naturels réduits en poudre, puis mélangés avec de la colle de peau. Le pigment pouvait aussi être mélangé à de la graisse, mais ça tient moins bien dans le temps.
La peinture était déposée sur le rawhide humide, de façon a ce que le pigment s'accroche bien dans la peau. Ensuite effectivement, ils passaient le liquide vitreux de l'œil en guise de vernis. Certaines tribs du Sud (Hopi, Navajo, ...) utilisaient aussi le jus de certains cactus en guise de vernis.